Indécis mais conscients de leur fin atroce,
Vivre ou se laisser mourir,
Que l'apocalypse s'amorce.
Leurs écris resteront
Gravés dans la pierre.
Le ciel flamboie, brûlant l'humanité,
Donnant cette couleur poupre
A ces terres brûlées,
Sombre tableau.
Les lumières sur la ville s'estompent,
Constat de notre incivilisation.
La mort s'étend. Place à la pénombre.
Pris sous nos bombes
Du haut des derniers remparts
Le reste d'humanité surplombe,
L'oeil hagard, l'hécatombe,
Le désastre final.